L'auteur a écrit un livre sur cet homme qui a menti pendant 18 ans, à tous les siens, et à toute la société. Il se disait médecin à l'OMS. Mais en fait, il n'était rien et ne faisait rien. Se sentant découvert, il a préféré tuer toute sa famille, plutôt que d'avouer ses mensonges.
E. Carrère a essayé de comprendre cet homme. Non seulement, il n'y arrive pas, mais en plus, il se sent très mal d'avoir écrit sur lui. Il se sent coupable. Davantage coupable que le meurtrier.
A lire en ayant bien en tête que c'est une histoire vraie, absolument inhumaine.
Bénédicte
L'histoire a fait l'objet d'une adaptation sur grand écran pour ceux que ça intéresse...
Plus d'infos sur ce film
E. Carrère a essayé de comprendre cet homme. Non seulement, il n'y arrive pas, mais en plus, il se sent très mal d'avoir écrit sur lui. Il se sent coupable. Davantage coupable que le meurtrier.
A lire en ayant bien en tête que c'est une histoire vraie, absolument inhumaine.
Bénédicte
L'histoire a fait l'objet d'une adaptation sur grand écran pour ceux que ça intéresse...
Plus d'infos sur ce film
7 commentaires:
Oui d'la torture cervelesque, c'est très bon ça !!
J'ai rajouter les bandes annonces du film du même titre...
Vraiment à lire ou à voir je pense.
Je me demande de quoi il se finançait...
E. il faut que tu lises ce livre. Tu vas être épaté par tant d'ignominie. C'est la monstruausité à l'état pur. Mais c'est la société tout entière qui en est responsable, surtout ses proches. et ils l'ont payé cher.
Le seul mérite que l'on peut accorder au film est sa trame, autrement dit lisez le livre, car en termes cinématographiques c'est très impersonnel : un film illustratif !
Tu as vu le film? Quel Jésus! Et le livre aussi tu l'as lu? C'est fort ça! Bon, j'ai rectifié les quelques erreurs de publication (le texte de La Madone avait un peu la tête à l'envers, sorry) et j'ai finalement laissé qu'une bande annonce (c'était trop massif)!
et puis si c'est un film en papier maché....
Ai lu le livre et l'histoire dépasse tant le journaliste qu'une impression troublante s'en dégage. Comme tu dis, E. Carrière éprouve culpabilisme car compassion et ne sait pas comment expliquer les actes de l'adversaire.
On sent d'ailleurs que ni son texte ni son approche dans ce livre ne lui plait. Perturbant et assez déroutant.
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